paris photo

Derrière la Comédie Française, sur le chemin de Paris Photo, je découvre des jardins secrets et insoupçonnés...

Le petit échantillon choisi ci-dessous n'est pas vraiment représentatif de cette édition 2005. La grande tendance cette année c'est le nu féminin: sublimé, banal, vulgaire... on voit de la chair partout. Et pourtant j'ai surtout retenu des photographies de paysages...

Balthasar Burkhard. Dans la lignée d'un Eric Poitevin?

Yuji Ono. Absolument génial. Déjà vu à Arles cet été. Un jeu sur le statut de l'oeuvre d'art et ce qui la matérialise, ou non.

Trent Parke.

Paolo Pellegrin.

Daniel Gustav Cramer. Encore un Eric Poitevin en herbe?

Louis Faurer.

Tomio Seike.

Pentti Sammallahti.

Marcus Doyle.

paysages imaginaires

Poésie documentaire, beauté géométrique et suggestive du nu. Le regard d'un allemand sur l'Angleterre de la fin des années 30 début 40. Photographe hybride entre Man Ray (ces nus... ces chairs sorties d'un tableau d'Ingres), Atget et Brassai, il traque l'atmosphère "qui change un lieu commun en beauté".

"J'ai souvent l'impression d'avoir déjà vécu une situation présente, et j'essaie de la reconstituer telle qu'elle était dans mon souvenir."

Hommage à Bill Brandt. C'est à la Fondation Henri Cartier-Bresson jusqu'au 18 décembre 2005. Allez-y.