Par melody nelson,
samedi 28 février 2009 à 12:14 - blabla
Tagguée par Tami.
"Open the 6'th picture-folder on your computer,
open the 6'th photo and blog it. Write something about it.
Then tag 6 more people to do the same"
Bon j'ai un peu triché, la 6e photo du 6e dossier étant complètement inintéressante (c'est sûrement le but de ce genre de tag), je préfère vous mettre une photo de Francesca Woodman, ma photographe préférée avec Raymond Depardon (rien à voir entre les deux).
La délicatesse, la féminité, le dépouillement... j'adore ses photos.
Dommage qu'elle ait eu une fin tragique : suicidée à 22 ans... est-ce là que le mythe prend racine?
Pour en savoir plus : cette petite bio/analyse pas mal faite.
Et juste pour le fun, je taggue Caro.
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Par melody nelson,
jeudi 26 février 2009 à 10:56 - movies
Récit d'une errance du Sud au Nord, de l'Est à l'Ouest, vers une France rêvée par tous ces clandestins, et un peu montrée du doigt par Costa-Gavras.
Souvent ironique, grinçant mais pas amer, le film déroule son lot de situations paradoxales pour Elias, notre héros incarné par le beau Riccardo Scamarcio.
C'est sa beauté sauvage et désespérée qui le sauve à chaque fois, il est désiré par tous les hommes et les femmes qu'il croise.
D'arnaques en coup de mains désintéressés (des visages éclairés par la pensée d'avoir fait une bonne action), il monte à Paris où l'on croise des policiers et des journalistes à chaque coin de rue (référence aux médias omniprésents qui ne voient jamais ce qu'il faudrait vraiment filmer).
Toujours la fuite donc, sentiment inconnu pour nous qui marchons "la conscience tranquille" dans la rue.
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Par melody nelson,
mercredi 25 février 2009 à 10:57 - blabla
Les bons côtés d'un week end improvisé : craquer sur de la belle peinture et passer prendre le goûter chez Rose Bakery (oui, je récidive).
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Par melody nelson,
mardi 24 février 2009 à 08:11 - concerts
Deuxième soirée dans ce chouette petit festival de blues qui ne programme pas vraiment du blues.
La Maroquinerie se remplit plus lentement, mais sûrement.
Nous posons nos fesses pour écouter Xavier Plumas, sans grand intérêt à mes oreilles, excepté la présence de Renaud Pion à la clarinette pour des passages tout en finesse.
Je m'ennuie poliment au premier rang.
Est-ce à cause des textes en français ou de la voix qui ne m'accroche pas?
Heureusement les joyeux Dear Reader me réveillent et m'émerveillent.
Un groupe qui arrive d'Afrique du Sud, avec un premier album qui sort en France ces jours-ci.
Après un début de set un peu laborieux (des problèmes de branchement), la jolie voix de Cherilyn MacNeil nous raconte de drôles d'histoires (notamment sur un ours polaire) accompagnée de sa guitare, son piano, et ses deux acolytes aux samples et à la batterie.
Un univers à creuser.
Fin de soirée en beauté avec Vetiver, un groupe que je connaissais peu (juste quelques morceaux du 1er album) mais pour lequel j'avais pris mes billets ce soir, confiante.
Et bien je ne suis pas déçue! Même plutôt emballée, ce qui est rare quand je ne connais pas.
Les morceaux "calm & sweet" alternent avec le "loud & rock'n'roll", les membres du groupes sont tous charismatiques et le public est venu pour eux : les gens dansent et chantent et je me surprends à faire pareil!
C'est sûr, la prochaine fois qu'ils passent à Paris, j'en serai!
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Par melody nelson,
dimanche 22 février 2009 à 18:09 - Paris
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Par melody nelson,
samedi 21 février 2009 à 11:45 - expo
Exposition croisée des photos de Frank à Paris et de celles qui ont fait la matière de son livre culte sur Les Américains dans les années 50.
Ma partie préférée est celle sur Les Américains. Tous les mythes de ce pays sont là, révélés avec poésie.
On pense à tous ces films, tous ces livres qui nous abreuvent de cette culture.
Cette imagerie est omniprésente, elle fait maintenant partie de notre subconscient : les voitures, les cowboys, la route, les diner's, le drapeau, les costumes, les fanfares... impossible de tout énumérer.
Achat indispensable : le livre Les Américains, réédité cette année.
Un petit mot aussi sur le travail de Sophie Ristelhueber, dont l'affiche m'avait accroché l'oeil dans le métro.
De la photo conceptuelle qui ne me convainc pas... elle travaille sur les traces, les cicatrices laissées sur le paysage...
Je préfère mille fois son travail sur les corps, en grand format, qui me dérange et m'éblouit à la fois.
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Par melody nelson,
vendredi 20 février 2009 à 09:17 - movies
A une certaine époque pas si lointaine, je vénérais le documentaire Meeting People is Easy de Grant Gee sur mes héros de Radiohead.
La façon de faire me plaisait : mêler le descriptif à la rêverie, les plans flous, la musique, les bruits ambiants... pas les ingrédients d'un documentaire traditionnel, plutôt une oeuvre d'art à part entière.
Ici on garde le même principe, avec un groupe fondamental.
On a l'impression que ce qui est arrivé est dû à une chance incroyable : la rencontre des bonnes personnes et cette alchimie particulière qui en est née.
Joy Division est un miracle, une révolution. Pourquoi ça n'existe plus aujourd'hui des groupes aussi importants?
La petite fille de la terre noire nous raconte la vie des gens dans une pauvre région minière du Sud de la Corée.
La vie est dure, mais à travers les yeux riants de la petite Young-lim tout semble s'égayer.
Tout de même, le film est symptomatique de ce qu'on peut voir des films asiatiques en général : des plans très lents, pratiquement pas de musique, et en plus ici une déprime qui s'infuse peu à peu.
A éviter les jours de cafard (mais l'affiche est drolement chouette).
Et enfin, la daube du mois : He's not that into you, très mal traduit en "Ce que pensent les hommes" (titre qui fait penser à un film avec Mel Gibson...).
Déjà, l'argument du film est tiré d'un épisode de Sex & the City, où Miranda réalise que tous les hommes qui ne l'ont jamais rappelée après un rendez-vous n'étaient juste pas attirés par elle. Très drôle dans la série, un peu maigre pour faire un film!
Mais les studios hollywoodiens ne reculent devant rien, du moment que le casting suit.
Alors oui, les acteurs sont tous très beaux et très "bankable" mais j'ai trouvé le film insupportable.
Les hommes et les femmes sont tous dépeints de manière horrible et stéréotypée (surtout les femmes qui passent pour de pauvres désespérées-décérébrées) et la fin du film dégouline de bons sentiments.
Bref, pas le film guimauve-girly-bonbecs de l'année (y'en faut bien un de temps en temps ;))
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Par melody nelson,
jeudi 19 février 2009 à 07:56 - concerts
Sympathique petit festival avec une belle affiche lundi dernier. La Maroquinerie était pleine à craquer.
Mes chouchous de Lonely Drifter Karen ouvrent le bal.
Le set a évolué depuis Les Femmes s'en Mêlent l'année dernière.
Miss Karen nous régale avec ses histoires et ses petites mélodies qui semblent venir d'ailleurs.
Son visage de porcelaine et sa fraîcheur contrastent avec son air espiègle et baroudeur.
Je rêverais de faire son portrait et de l'interviewer, elle a un univers fascinant.
Ce groupe est une joyeuse auberge espagnole : chanteuse viennoise, batteur italien, claviériste espagnol.
J'adore.
Une deuxième partie toute en douceur avec Mariee Sioux, une copine d'Alela Diane, fleurs dans les cheveux, voix diaphane, guitare acoustique, xylophone enchanté.
Très Simon & Garfunkel, années 70, baba cool.
Un peu long sur la fin, les deux demoiselles étant assises, la musique douce, et la soirée déjà bien entamée.
Une belle découverte quand même.
La tête d'affiche enfin, Emily Jane White, toute en imprimé léopard !
Sympa, assez électrique avec tout un groupe derrière elle. Elle a une voix sublime, très Cat Power.
Mais bizarrement je n'ai pas accroché plus que ça... je suis passée à côté je crois!
Les jolies photos viennent du site de Robert Gil.
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Par melody nelson,
mercredi 18 février 2009 à 12:04 - blabla
Ma dernière fois à la Comédie Française, c'était en 1998 pour Phèdre, avec Valérie Dréville dans le rôle-titre.
J'étais au lycée, nous étions très mal placés, et j'en garde pourtant un souvenir ému.
Dimanche dernier, c'est un autre monument que nous sommes allés écouter et voir.
Reprise pour la 3e année consécutive, la mise en scène de Denis Podalydès est un succès, et à raison.
Les décors et costumes sont magnifiques, les idées de Podalydès servent divinement le texte, et les acteurs... sont parfaits.
La voix de Vuillermoz roule les "R" et fend l'air avec éloquence, Roxane est parfaite, mutine, espiègle, et Christian est beau comme il le faut.
On connait tous des passages de cette pièce célèbre, et les vers me reviennent au fur et à mesure dans un plaisir inoui : le duel du début "et à la fin, je touche", la "tirade des nez", les "non merci"...
J'ai des frissons dans la scène du balcon, rendue à sa plus simple expression avec une Roxane flottant dans les airs et un Cyrano se cachant dans l'ombre.
Vous voyez la noirceur d'un long manteau qui traîne,
J'aperçois la blancheur d'une robe d'été.
Moi je ne suis qu'une ombre, et vous qu'une clarté!
C'est fou comme c'est beau, et efficace.
Pour les âmes en manque d'émotion, allez voir Cyrano!"
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Par melody nelson,
lundi 16 février 2009 à 11:43 - Paris
Après un brunch dans le 9e, j'ai testé la formule déjeuner dans le 3e, tout près de mon ancien chez moi.
Un bon quart d'heure d'attente pour avoir une table, ça se bouscule, et rien que des "beautiful people" un peu bobo, des gens qui travaillent dans le quartier, des jeunes ou futures mamans...
On fait la queue devant le comptoir, en choisissant déjà mentalement son dessert parmi les cakes, riz au lait, biscuits, puddings...
L'endroit ressemble pas mal à la maison-mère de la rue des Martyrs, tout en longueur.
Le service est aussi agréable et anglophone. On a gardé le même principe de l'épicerie-traiteur-resto bio.
Une fois installés, je me jette sur le pain et le beurre, puis sur mon risotto aux cèpes et tomates (délicieux).
Mais ce qui me reste surtout en mémoire, c'est l'incroyable "bread and butter pudding", servi avec sa crème anglaise.
Un délice. Difficile à finir, nous sommes repus.
Je ne résiste pas à repartir avec une part de "lemon & orange cake", exquis.
Bilan : 50 € pour deux. Un poil cher, mais la qualité est là.
Encore une raison pour vouloir retourner vivre dans ce quartier :)
Rose Bakery
30 rue Debeylleyme
75003 PARIS
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Par melody nelson,
dimanche 15 février 2009 à 10:21 - movies
Petite séance en semaine, l'après-midi, et beaucoup de monde dans la salle quand même pour le dernier film de David Fincher !
J'étais impatiente de voir le film, très librement adapté de la nouvelle de Fitzgerald (ils n'ont gardé que l'idée que vieillir à l'envers finalement).
Malgré des défauts évidents, j'ai plutôt aimé.
Ce genre d'histoire me touche, malgré le côté "grotesque" et impossible.
Cela ouvre la voie à beaucoup de sujets de réflexion... la vie, la mort, la mémoire, tout ça...
Et puis il ya les acteurs, superbement beaux et donnés à voir dans leur plus belle jeunesse.
Cela faisait longtemps qu'on n'avait pas vu Brad Pitt aussi magnétique, et que dire de Cate Blanchett, actrice vraiment sublime (le roux lui va tellement bien), complètement crédible en danseuse de Balanchine (et je sais de quoi je parle!).
A ce propos, ce billet résume très bien tous les aspects du film liés à la danse (chouette blog d'ailleurs).
Pour ceux qui n'ont pas aimé (j'ai vu ça sur pas mal de blogs) je ne dirais qu'une seule chose : lisez la nouvelle :)
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Par melody nelson,
samedi 14 février 2009 à 11:59 - blabla
Envie de jambes nues, de rose, d'épaules au soleil, de blondeur, de vélo, de marcher pieds nus dans l'herbe, de jolies sandales, de dormir la fenêtre ouverte, de faire pousser des choses sur le balconnet, de chemins perdus dans la forêt, de l'odeur des épines de pin, de salades de fruits mutlicolores, de rentrer tard le soir dans Paris...
... et des petites fringues qui vont avec tout ça : une petite sélection pour la peine (pas dans mon budget, autant se faire plaisir)!
Un petit Talking Heads pour la route, c'est Tami qui m'a refilé le virus!
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Par melody nelson,
vendredi 13 février 2009 à 11:52 - movies
Première partie : l'Argentin
Après cinq minutes de confusion pour rentrer dans le film (ça commence très vite, en mélangeant les époques de 1952 à 1958), on est entraînés dans le maquis (et pas le maki ;) avec Benicio del Toro pour notre plus grand plaisir.
Je ne connais pas bien cet épisode de l'Histoire, c'est l'occasion de me rattraper, au son chantant de la langue espagnole.
Le film alterne images couleur dans la jungle et noir et blanc à l'ONU.
Julia Ormond interprète une journaliste péroxydée façon Marilyn, dont les échanges avec le Che viennent ponctuer de répliques imparables le récit de cette révolution.
Le rythme est là, juste ce qu'il faut pour rester sobre, et la fin de la première partie arrive au moment opportun.
Deuxième partie : Guerilla
Dans ce deuxième film, on zappe les mésaventures du Che en Afrique pour se concentrer sur la Bolivie.
Le film est plus sombre : forcément, il narre un échec, une traque, un désespoir.
Frustration d'un homme malade (il étouffe) qui s'en prend à son cheval dans un accès de rage, naissance d'une mythologie autour du personnage.
Ce que je retiens surtout, c'est une mise en scène assez différente, privilégiant les moments qui ne racontent rien, mais qui disent beaucoup.
Soderbergh se détache un peu des faits et nous fait prendre du recul pour vraiment ressentir les choses : le vent qui joue dans les arbres quand un homme meurt, un plan en contre-jour pour suggérer ce qui se passe dans la tête d'un soldat...
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Par melody nelson,
jeudi 12 février 2009 à 14:37 - blabla
Un de mes "spots" préféré, dans le 18e à Paris : Les petits mitrons !
Pour leurs tartes aux fruits délicieuses et le gentil monsieur au service, les paquets rose bonbon et la vitrine alléchante!
Cette semaine j'avais une envie folle de chocolat, pour changer!
Les Petits Mitrons
26 rue Lepic
75018 Paris
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Par melody nelson,
dimanche 8 février 2009 à 11:24 - movies
De ce faux documentaire sur les actrices on retient: Romane Bohringer magnifique (avec un si beau prénom aussi...), Julie Depardieu émouvante (plus elle déprime, plus elle met de fleurs dans les cheveux), Marina Foïs pas langue de bois (c'est si rafraîchissant), Jeanne Balibar un peu barrée, Charlotte Rampling royale...
Le casting de rêve pour un drôle de film qui se moque de lui-même... Même Joey Starr (dans le rôle du mec de Maïwenn) a l'air sympa !
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Par melody nelson,
vendredi 6 février 2009 à 12:48 - Paris
... c'est un chouette petit bistrot-resto, plutôt haut de gamme avec plein de saveurs dans l'assiette : langoustines relevées par le goût de la roquette (ou serait-ce du pissenlit?), saint-jacques aux betteraves parfaitement cuites, pommes cuites caramélisées...
Et dans nos verres?
Des bulles, des robes rouges somptueuses, un Armagnac terrible de 1968, on en boit comme du petit lait.
Sous la verrière, on s'enivre gaiement :
Il faut être toujours ivre.
Tout est là:
c'est l'unique question.
Pour ne pas sentir
l'horrible fardeau du Temps
qui brise vos épaules
et vous penche vers la terre,
il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi?
De vin, de poésie, ou de vertu, à votre guise.
Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois,
sur les marches d'un palais,
sur l'herbe verte d'un fossé,
dans la solitude morne de votre chambre,
vous vous réveillez,
l'ivresse déjà diminuée ou disparue,
demandez au vent,
à la vague,
à l'étoile,
à l'oiseau,
à l'horloge,
à tout ce qui fuit,
à tout ce qui gémit,
à tout ce qui roule,
à tout ce qui chante,
à tout ce qui parle,
demandez quelle heure il est;
et le vent,
la vague,
l'étoile,
l'oiseau,
l'horloge,
vous répondront:
"Il est l'heure de s'enivrer!
Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps,
enivrez-vous;
enivrez-vous sans cesse!
De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise."
Charles Baudelaire
Miroir
94, rue des Martyrs
75018 Paris
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Par melody nelson,
jeudi 5 février 2009 à 10:55 - movies
Encore un film d'espionnage (c'est à la mode) avec Guillaume Canet, acteur bankable, le Patrick Dempsey français ai-je lu quelque part..
Moui, bon, pourquoi pas? (J'ai un faible pour McDreamy)
En tout cas il n'est pas mauvais ce Canet, et pour un premier film, Nicolas Saada (ancien critique chez les Cahiers du Cinéma) évite certaines erreurs de débutant.
Par exemple le film n'est pas trop centré sur l'action (d'où les longueurs parfois? raaah, jamais contente moi?) mais plutôt sur les personnages, dont la très sensible Géraldine Pailhas, à fleur de peau (une actrice trop rare).
Mention spéciale à la scène de bagarre dans l'appartement au début du film : filmée très près des corps, humaine... elle n'en est que plus crédible.
Bref, un petit film qui se laisse bien regarder...
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Par melody nelson,
mercredi 4 février 2009 à 11:43 - blabla
Puisque c'est à la mode, que même The Best Brunette herself s'y met, et bien je ponds un tuto sur "comment se fabriquer les mêmes jolies baskets qui coûtent un bras chez Lanvin".
Grâce aux photos de Caro, j'avais flashé sur ces jolies baskets roses en satin, avec des lacets en ruban gros grain... mais quand même, chez Lanvin ça ne doit pas être donné...
Je m'étais alors dit que ça ne devait pas être compliqué d'obtenir le même résultat à moindre coût, à condition de trouver des baskets en satin...
Alors l'autre jour, en passant devant Colette (ce qui m'arrive 2 fois par an environ, je ne suis même jamais rentrée!), je tombe en arrêt devant la vitrine : une collection de Puma en satin par Sergio Rossi avec de chouettes couleurs!
Après recherches sur le net je trouve le prix : 150 € la paire (pas excessif pour des Puma).
Ajoutez à cela pour 10 € de ruban et vous obtenez les baskets de vos rêves (des miens en tout cas).
Avec un jean bien coupé ce sera la tenue "confort" de base du printemps je crois.
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Par melody nelson,
mardi 3 février 2009 à 11:18 - postcards
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Par melody nelson,
lundi 2 février 2009 à 07:38 - Paris
Dans la série "les goûters" qui tuent : Angelina (226 rue de Rivoli).
Les "POUR":
- le chocolat "Africain" : crémeux, intense, généreux (blurp), rien à redire!
- le lieu : si vous aimez les salons un peu "Versailles" vous serez servis!
- la mythologie du lieu : c'est ici que Carrie vient se gaver de gâteaux dans la saison 6 de Sex & the City (vous savez cette scène mémorable ou elle donne un morceau à un gros chien assis à côté d'elle).
(edit : pfff, même pas vrai en fait, j'ai été "désinformée" :(
- l'emplacement en plein dans le quartier "british" de Paris, et donc à deux pas de la librairie WH Smith où l'on peut dénicher des magazines pointus et de la littérature anglaise en V.O.
Les "CONTRE":
- la note : un peu salée quand même (25 € pour un chocolat, un thé, et deux parts de tarte tropézienne au café, arghhllll...)
- la clientèle : ben forcément on l'a un peu cherché en allant se ballader dans ce coin-là, mais qu'est-ce que c'est puant quand même... les touristes, ça passe encore (sont mignons ces petits couples japonais qui prennent les vitrines en photos) mais pour le reste c'est bien prout prout...
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